« These days you can’t tell if someone’s crazy or just on the phone… »
« Don’t get me wrong, you haven’t been living here long if you don’t want to kill every single person you see – either that or hide in your room with the shades down, only leaving for appointments with the shrink. That’s perfectly normal. That’s just how it is. »
Ce sont les 2 passages du « New York Journal » tiré de l’avant-dernier numéro de Cometbus qui m’ont le plus fait sourire en les relisant récemment, tant ils m’ont conforté dans les sentiments je peux régulièrement éprouver en circulant dans une ville comme Paris… Comme quoi toutes les grandes mégalopoles semblent aussi aliénantes les une que les autres en y vivant un peu trop longtemps…
Dans le genre pathologies cérébrales affirmées, vendredi, on eut le droit à un bel échantillonage qui démarra dés le début de la soirée avec Crossing The Rubicon. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai vraiment du mal avec l’attitude névrosée faussement nihiliste de leur chanteur, probablement une question de références que je ne maîtrise pas. Dans le style, je reste tout de même davantage de l'école Will Shatter / Flipper – Face B de « Damaged », ou de manière plus récente Out With A Bang (qui détient à ce jour un de mes titres de disque préféré avec leur incontournable « A Few Beers Left, But Out Of Drugs… » J'y peux rien, mais moi, ça me faite rire...), que The Bronx (qui sembla être la référence de la soirée de vendredi).
Plus humbles dans leur attitude, j’ai davantage apprécié Horror Show Destruction que je pus ainsi voir dans de meilleures conditions que lors de leur passage sur Paris dans la cave du Relai de Belleville chez La Mama…
« Don’t get me wrong, you haven’t been living here long if you don’t want to kill every single person you see – either that or hide in your room with the shades down, only leaving for appointments with the shrink. That’s perfectly normal. That’s just how it is. »
Ce sont les 2 passages du « New York Journal » tiré de l’avant-dernier numéro de Cometbus qui m’ont le plus fait sourire en les relisant récemment, tant ils m’ont conforté dans les sentiments je peux régulièrement éprouver en circulant dans une ville comme Paris… Comme quoi toutes les grandes mégalopoles semblent aussi aliénantes les une que les autres en y vivant un peu trop longtemps…
Dans le genre pathologies cérébrales affirmées, vendredi, on eut le droit à un bel échantillonage qui démarra dés le début de la soirée avec Crossing The Rubicon. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai vraiment du mal avec l’attitude névrosée faussement nihiliste de leur chanteur, probablement une question de références que je ne maîtrise pas. Dans le style, je reste tout de même davantage de l'école Will Shatter / Flipper – Face B de « Damaged », ou de manière plus récente Out With A Bang (qui détient à ce jour un de mes titres de disque préféré avec leur incontournable « A Few Beers Left, But Out Of Drugs… » J'y peux rien, mais moi, ça me faite rire...), que The Bronx (qui sembla être la référence de la soirée de vendredi).
Plus humbles dans leur attitude, j’ai davantage apprécié Horror Show Destruction que je pus ainsi voir dans de meilleures conditions que lors de leur passage sur Paris dans la cave du Relai de Belleville chez La Mama…
1 comment:
merci d'etre toujours là, c'est encourageant! et bien hate que vous ecoutiez les nouveaux morceaux qu'on peut pas encore joué et qu'on met du temps a mettre en forme...
bien à vous
roulio
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