En voyant le regard dépité de la jeune fille déguisée en Père Noël qui tomba nez à nez sur moi à la sortie du métro s’apprêtant à me remettre son bout de papier que je n'avais pas forcément l'intention de prendre, avant de se raviser d’un air dégouté alors qu’elle l’offrait à tous les autres passants en leur proposant avec un grand sourire de passer prendre le petit dej à l’adresse indiquée dessus, j’ai compris que je ne devais vraiment pas avoir la tête des grands jours…
Il faut dire qu’il était 8h du mat, et je rentrais chez moi à l’heure à laquelle j’étais sensé partir bosser, en n’ayant dormi que quelques heures sur une chauffeuse (peu mais très bien dormi d'ailleurs suite à succession de loupés en tentant de gagner du temps sur des derniers métros que je n'ai jamais réussi à choper qui me valurent de devoir abuser d'une hospitalité de dernière minute à une heure des plus tardives...), sans avoir pris la peine de me déshabiller complètement. Pour le coup, je me suis senti encore plus crade que je ne l’étais réellement.
J’étais encore sous le buzz du concert de la veille, cette espèce d’urgence que j’avais beaucoup aimée, liée au stress de ne pas avoir pu répéter depuis un mois et se retrouver finalement à jouer comme si la vie en dépendait et qu’il ne restait que quelques heures à vivre (ce qui finira bien par être le cas au rythme où vont les choses…), et soudainement, c’était comme si tout venait de s’écrouler avec un brusque retour à la réalité, voyant tous ces gens courir dans tous les sens pour aller travailler avec le même air taciturne.
C’était un peu rude pour commencer ce qui promettait d’être une très longue journée, du coup j’ai foutu le casque sur les oreilles, et je me suis réécouté les quelques morceaux de Steel Pole Bath Tub que je m’étais rippés 2 jours plus tôt à partir de vieux vinyls retrouvés par inadvertance, dont ce morceaux dont les paroles faisaient « If I had the choice, I’d change my blood for caffeine… », le genre de transfusion dont j’aurais réellement eu besoin ce matin là ! (Extrait de « Time To die » ouvrant leur premier LP « Butterfly Love »).
Dés que j’en trouverai le courage, il faudra d’ailleurs que je m’attèle à foutre en ligne la chiée de vinyls que j’ai rippés depuis l’acquisition de ma platine USB cet été dans le but d’agrémenter ce blog de compléments audio. C’en est quasiment devenu une drogue depuis que je m'y suis mis, passant la plupart de mes soirées et week end depuis septembre, à redécouvrir tout un tas de disques dont j’avais parfois oublié l’existence, tout comme ces titres inédits sur compils que je prenais si souvent plaisir à collectionner pour avoir la totalité des enregistrements de tel ou tel groupe.
Il faut dire qu’il était 8h du mat, et je rentrais chez moi à l’heure à laquelle j’étais sensé partir bosser, en n’ayant dormi que quelques heures sur une chauffeuse (peu mais très bien dormi d'ailleurs suite à succession de loupés en tentant de gagner du temps sur des derniers métros que je n'ai jamais réussi à choper qui me valurent de devoir abuser d'une hospitalité de dernière minute à une heure des plus tardives...), sans avoir pris la peine de me déshabiller complètement. Pour le coup, je me suis senti encore plus crade que je ne l’étais réellement.
J’étais encore sous le buzz du concert de la veille, cette espèce d’urgence que j’avais beaucoup aimée, liée au stress de ne pas avoir pu répéter depuis un mois et se retrouver finalement à jouer comme si la vie en dépendait et qu’il ne restait que quelques heures à vivre (ce qui finira bien par être le cas au rythme où vont les choses…), et soudainement, c’était comme si tout venait de s’écrouler avec un brusque retour à la réalité, voyant tous ces gens courir dans tous les sens pour aller travailler avec le même air taciturne.
C’était un peu rude pour commencer ce qui promettait d’être une très longue journée, du coup j’ai foutu le casque sur les oreilles, et je me suis réécouté les quelques morceaux de Steel Pole Bath Tub que je m’étais rippés 2 jours plus tôt à partir de vieux vinyls retrouvés par inadvertance, dont ce morceaux dont les paroles faisaient « If I had the choice, I’d change my blood for caffeine… », le genre de transfusion dont j’aurais réellement eu besoin ce matin là ! (Extrait de « Time To die » ouvrant leur premier LP « Butterfly Love »).
Dés que j’en trouverai le courage, il faudra d’ailleurs que je m’attèle à foutre en ligne la chiée de vinyls que j’ai rippés depuis l’acquisition de ma platine USB cet été dans le but d’agrémenter ce blog de compléments audio. C’en est quasiment devenu une drogue depuis que je m'y suis mis, passant la plupart de mes soirées et week end depuis septembre, à redécouvrir tout un tas de disques dont j’avais parfois oublié l’existence, tout comme ces titres inédits sur compils que je prenais si souvent plaisir à collectionner pour avoir la totalité des enregistrements de tel ou tel groupe.
Il y en a l’équivalent de 6 Go et de quoi faire au minimum 200 posts, ce qui me laissera de la marge pour tenir les 2 prochaines années à venir à raison de 2 posts par semaines. De quoi m’occuper sagement en attendant la fin du monde !
Il faut dire que mon bref passage chez Laurent de Churchofzer cet été, m’aura bien aidé à comprendre toutes les subtilités de maniement d’Audacity… A l’inverse de tous les logiciels sur lesquels je suis sensé plancher pour le boulot, là j’ai réussi à en intégrer une grande partie des subtilités sans qu’on ait besoin de me le répéter 2 fois… Quand la motivation est là, certaines choses coulent de source… En attendant que je trouve le courage de m’y mettre (ce qui ne sera pas forcément pour tout de suite...), vous pouvez toujours aller faire un tour là : http://churchofzer.blogspot.com/ et là : http://paynomorethan.blogspot.com/ où vous trouverez tout un tas de choses des plus intéressantes chez 2 correspondants de très longue date…
Le temps de longer la Seine, traverser le pont jusqu’à Asnières, je suis repassé chez moi prendre une douche, me changer et me raser, puis je suis parti bosser comme tout le monde, mais avec un grand sourire idiot aux lèvres en repensant au pur moment de bonheur qu’a pu être le concert de la veille, avec l’impression de vivre la parfaite symbiose entre le « Keep Laughing » et « Rock’n’Roll Nightmare » de R.K.L. (Pour plus de compréhension checkez les 2 albums en question sur la dernière note Zer, voir leur live de 88 dont le passage à Paris lors de cette tournée restera à jamais un de mes meilleurs souvenirs de l’époque avec celui des Doughboys un an plus tard et Scared Of Chaka quelques années plus tard…)
En tout cas une chose est sure, vivement samedi qu’on remette ça ! En attendant quelques photos en guise de souvenir ou préambule…
Il faut dire que mon bref passage chez Laurent de Churchofzer cet été, m’aura bien aidé à comprendre toutes les subtilités de maniement d’Audacity… A l’inverse de tous les logiciels sur lesquels je suis sensé plancher pour le boulot, là j’ai réussi à en intégrer une grande partie des subtilités sans qu’on ait besoin de me le répéter 2 fois… Quand la motivation est là, certaines choses coulent de source… En attendant que je trouve le courage de m’y mettre (ce qui ne sera pas forcément pour tout de suite...), vous pouvez toujours aller faire un tour là : http://churchofzer.blogspot.com/ et là : http://paynomorethan.blogspot.com/ où vous trouverez tout un tas de choses des plus intéressantes chez 2 correspondants de très longue date…
Le temps de longer la Seine, traverser le pont jusqu’à Asnières, je suis repassé chez moi prendre une douche, me changer et me raser, puis je suis parti bosser comme tout le monde, mais avec un grand sourire idiot aux lèvres en repensant au pur moment de bonheur qu’a pu être le concert de la veille, avec l’impression de vivre la parfaite symbiose entre le « Keep Laughing » et « Rock’n’Roll Nightmare » de R.K.L. (Pour plus de compréhension checkez les 2 albums en question sur la dernière note Zer, voir leur live de 88 dont le passage à Paris lors de cette tournée restera à jamais un de mes meilleurs souvenirs de l’époque avec celui des Doughboys un an plus tard et Scared Of Chaka quelques années plus tard…)
En tout cas une chose est sure, vivement samedi qu’on remette ça ! En attendant quelques photos en guise de souvenir ou préambule…
Crippled Old Farts - Le C.I.C.P. - 21/12/2208Et petit bilan de la soirée, 1300 € recoltés pour L'Envolée et 108 € reversés au C.C.C. et non C.C.L. sorry...
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