Je dois reconnaître que j'ai toujours eu du mal avec toute cette imagerie rock'n'roll ultra lookée (fut-elle associée punk) à base de tatouages, pose et fringues frisant le ridicule, mais malgré tout j'avais pris grand plaisir à lire l'espèce de bio / journal de bord de ce drôle de personnage atypique qu'est Kevin K, petit bonhomme assez frêle à la cinquantaine passée ayant à la fois cotoyé de leur vivant Johnny Thunders, Dee Dee Ramones et tant d'autres de la première vague punk new yorkaise, et surtout réussi à y survivre en ayant expérimenté une vie toute aussi débridée, ce qui me permit d'apprécier davantage son parcours musical et attisa ma curiosité pour voir ce que ça pouvait donner autrement qu'en version acoustique comme ça avait été le cas en mai dernier au Saint-Hilaire. Mon seul regret fut un timing une fois de plus assez serré qui en écourta d'autant le set...
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