Si vous avez un peu de temps à perdre, je vous recommande vivement d’aller faire un tour sur le blog de Hugo (de Feu Parkinson Square et Garlic Frog Diet) : http://hugauze.blogspot.com/ sur lequel il a mis en ligne une bonne partie des billets de concerts auxquels il eut la chance d’assister tant ici qu’outre Atlantique, le tout assorti à chaque fois de petites anecdotes croustillantes relatives à chacun d’entre eux, qui me permirent entre autre d’apprendre que Hüsker Dü avaient joué au Rex Club en 85, (Chose que j’ignorais totalement… Ceci dit à l’époque vu que je ne jurais que par Verbal Abuse, D.R.I., Heimat Los, Suicidal Tendencies, Rattus et Discharge, je ne suis pas certain que leur concert m’aurait branché plus que ça, d’autant qu’ils y jouèrent l’intégralité de « Flip Your Wing » 3 mois avant sa sortie, ce qui laissa une bonne partie du public perplexe...), tout comme que les Meat Puppets foulèrent le sol de la Locomotive à la même époque en jouant leur country punk abrasive devant une petite trentaine de pelos, ou encore Hüsker Dü qui rejouèrent à Paris 2 ans plus tard à l’Elysée Montmartre en compagnie de Sonic Youth. Pourtant j’en ai entendu parler un bon paquet de fois de ce concert de Sonic Youth, certains de mes potes y étant m’ayant rabâché les oreilles avec des années durant…
Mais bon, à l’époque Sonic Youth sonnaient définitivement trop « artsy » pour moi, et tout groupe ne jouant pas à une vitesse ne défiant pas celle des combos les plus rapides du moment n’arrivait pas à capter mon attention plus que le temps nécessaire pour me rendre compte que ça ne jouait pas assez vite... Ceci dit aucun d’eux ne mentionna la présence d’Hüsker Dü sans quoi je pense que ça m’aurait quand même fait tilter, d’autant que « Candy Apple Grey » était la seule incartade « Pop » que je m’accordais à écouter de temps à autre à l‘époque...
Quoi qu’il en soit, je ne connaissais pas à Hugo (En même temps, on ne s’est croisés que 2 fois sans s’être réellement parlé…) un passé aussi riche en expériences musicales dont un grand nombre me firent allègrement baver... Comme d’avoir vu Jawbreaker à New York quelques mois avant la sortie de « Unfun », Angry Samoans partageant l’affiche avec un Samiam faisant ses premiers pas sur scène, Social Unrest quelques années plus tôt, ou encore Government Issue accompagnés des Asexuals juste avant la sortie de « You »…
Une lecture qui réussit me faire perdre une bonne demi journée ponctuée de nombreux souvenirs en commun comme ce premier concert de Suicidal Tendencies à l’Elysée Montmartre fin 88 ou ce festival de 2 jours ayant réunis les Hard-Ons, Gorilla Biscuits et surtout Doughboys qui me mirent une calotte comme je n’en revécus que rarement par la suite !
Mais bon, à l’époque Sonic Youth sonnaient définitivement trop « artsy » pour moi, et tout groupe ne jouant pas à une vitesse ne défiant pas celle des combos les plus rapides du moment n’arrivait pas à capter mon attention plus que le temps nécessaire pour me rendre compte que ça ne jouait pas assez vite... Ceci dit aucun d’eux ne mentionna la présence d’Hüsker Dü sans quoi je pense que ça m’aurait quand même fait tilter, d’autant que « Candy Apple Grey » était la seule incartade « Pop » que je m’accordais à écouter de temps à autre à l‘époque...
Quoi qu’il en soit, je ne connaissais pas à Hugo (En même temps, on ne s’est croisés que 2 fois sans s’être réellement parlé…) un passé aussi riche en expériences musicales dont un grand nombre me firent allègrement baver... Comme d’avoir vu Jawbreaker à New York quelques mois avant la sortie de « Unfun », Angry Samoans partageant l’affiche avec un Samiam faisant ses premiers pas sur scène, Social Unrest quelques années plus tôt, ou encore Government Issue accompagnés des Asexuals juste avant la sortie de « You »…
Une lecture qui réussit me faire perdre une bonne demi journée ponctuée de nombreux souvenirs en commun comme ce premier concert de Suicidal Tendencies à l’Elysée Montmartre fin 88 ou ce festival de 2 jours ayant réunis les Hard-Ons, Gorilla Biscuits et surtout Doughboys qui me mirent une calotte comme je n’en revécus que rarement par la suite !
Sans grand rapport avec ce qui précède, j'en profite pour passer dans la foulée quelques photos de Derrota prises dimanche dernier au C.I.C.P. à mon retour de vacances après un samedi soir des plus carabiné...
Derrota - Le C.I.C.P. - 21/09/2008
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