There is Xerox on the Insides of Your Eyelids

Juste pour le plaisir des yeux, le genre d’expo qui me donnerait allègrement envie de me délocaliser pour vivre un peu plus près de la galerie Needles & Pens de san Francisco…

“There is Xerox on the Insides of Your Eyelids” est en fait une expo explorant en profondeur le royaume des Skate Zines des années 80 avec des numéros de nombreux zines d’époque tells que Skate Fate, Swank, Karmaboarder, Bend, Naughty Nomads, 408, Skate Edge, Revenge Against Boredom, ou Contort (pour n’en citer que quelques uns) exposés sur place… Domaine que je ne connais finalement que très peu, pour ne pas dire du tout…

Au chapitre des bonnes nouvelles (tout du moins pour moi), les mois d’avril et mars devraient voir les rééditions deluxe de « It’s a shame about Ray » des Lemonheads avec en bonus l’inédit « Shaky Ground » accompagné de versions démo de « It's A Shame About Ray », « Rockin' Stroll », « My Drug Buddy », « Hannah & Gabi », « Kitchen », « Bit Part », « Rudderless », « Ceiling Fan In My Spoon », « Confetti » assortie d’un DVD du film « Two Weeks In Australia » sorti à l’époque en VHS, ainsi que celle des 4 premiers albums des Replacements avec de nombreux titres bonus (démos, et face B de singles et maxis restés inédits depuis…

Infos complètes sur le sujet ici : http://www.billboard.com/bbcom/news/article_display.jsp?vnu_content_id=1003709827 ).

De quoi combler les inconditionnels de ces groupes.

Et pour patienter d’ici là, je ne saurais que vous recommander d’aller faire un tour sur le lien suivant : http://wilfullyobscure.blogspot.com/2008/02/replacements-boink-bootleg.html , où se trouve un des boots les plus intéressants des Replacements sorti ces dernières années…

Et puisqu’on parlait Skate Rock un peu plus haut, allez jeter un œil sur http://elblogdek-xi.blogspot.com/ où se trouve le premier album de Bl’ast (« Power Of Expression ») sur lequel figurait l’anthèmique « Time To Think / Surf & Destroy » !

Crippled Old Farts - Le retour !!!

Vu que ça faisait une éternité que je n'avais pas mis en ligne la moindre note, on peut dire que j'y ai mis la dose ce coup-ci ! Mais j'ai tout de même gardé le meilleur pour la fin...

Bonne ou mauvaise nouvelle (c’est selon), nous serons de retour au Saphir 21 avec les Crippled old Farts, le 02 Mars prochain (un dimanche) en compagnie de Fat Beavers (qui ont d'ailleurs eu la gentillesse de monter la date en question, et surtout nous y faire participer !), ainsi qu'avec Les Louise Mitchels, Louis Lingg And The Bombs et Les Versaillaises à Moustache, le tout à partir de 16h. Flyer ci-dessous pour toutes les indications d'ordres fonctionnels...

Vu qu’on se fait vieux et que le dimanche on a du mal à se lever, on jouera plutôt vers la fin, qui plus est notre bassiste doit rendre ses filles à leur mère, son intégration à notre groupe de bras cassés restant une des causes principales de son récent divorce (ça plus le fait que les cachets au sein d’Uneven ne payait plus assez... Ceci dit je ne suis pas sur qu’il y ait forcément gagné au change avec nous…).

En principe on aura 2 nouveaux morceaux en plus sur notre set list d’origine, ce qui devrait nous permettre de tenir 17 minutes (si Greg n’accélère pas tous les morceaux comme à chaque concert…), voir 22 avec les pains. Pour un truc qui se voulait à la Husker Du / Pegboy, c’est sur qu'on reste dans le registre, mais plus en lorgnant vers « From The Gut » ou « Punch Drunk » que « Don’t Want To Know If You Are Lonely » (que l’on reprenait d’ailleurs en répète au tout début du groupe, avec « Spaghetti Western » de Pegboy, mais ce n’est plus d’actualité maintenant… Il n'y a qu'à voir, les dernières reprises ayant été soumises et envisagées ces derniers temps étant « Sheep » et « Mother » des Electro Hippies ainsi que « Sacrifice » de Rudimentari Peni, çà laisse présager beaucoup de bon pour l'avenir… Heureusement que le logo du groupe est en adéquation, on peut dire que je l'avais senti venir ! Le festoche de Décembre au Saphir 21, y a probablement été pour beaucoup dans cette nouvelle connotation musicale plus anarchopunk que jamais !

De toute façon, vous pourrez juger sur pièce le dimanche en question, mais d’ici là on va tacher de réviser un peu !

Péniche Makara Pt. 2 - Aina - Vanilla

La suite avec en guest Aina également présents ce soir là et Vanilla pour lesquels je dois avouer que je m’étais tout spécialement déplacé à la base !

Engine Down – Peniche Makara – Printemps 2002

Aina – Peniche Makara – Printemps 2002

Vanilla – Peniche Makara – Printemps 2002

Ca, c'était mon bureau à la même époque, ou tout du moins la planche sur 2 trétaux qui en faisait office...

Engine Down @ Péniche Makara

Lors de mon passage à la Dischord House au printemps 2000, Alec Bourgeois m'avait filé tout un tas d’affiches du label ainsi quelques disques promo à chroniquer. Parmi ceux-ci, se trouvait le deuxième album d’Engine Down. Je n’avais jamais entendu parler de ce groupe auparavant ni de leur label Lovitt Records. C’est pourquoi lorsque leur venue en France fut annoncée un an plus tard sur la Péniche Makara, je m’étais innocemment imaginé qu’il y avait peu de chance pour que l’on soit plus de 30 pelos à se déplacer pour l’occasion, qui plus est pour une date tombant en plein week end férié…

J’ai eu tout faux ce jour-là, mais heureusement connaissant bien les lieux pour les avoir souvent arpenté en d'autres occasions, grand bien me prit de me placer devant dés le début et de ne plus en bouger durant toute la durée du concert, sans quoi je n’aurais vraisemblablement rien vu, et certainement pas pu prendre les photos qui suivent… Le plus amusant dans l’histoire, c’est qu’Agnès et Greg se trouvaient juste à côté de moi, mais l’on ne se connaissait pas encore à l’époque…

Engine Down – Peniche Makara – Printemps 2002

At The Drive In @ La Boule Noire Pt. 2

La suite, avec en bonus 2 clichés du Second Rate première mouture, tous particulièrement dédiés à l’ami Nasty Samy (les cheveux étaient plus longs à l'époque et les tatouages encore absents...), et une photo de Snapcase que j'aimais énormément, contrairement au groupe qui m'a toujours laissé indifférent...

At The Drive In – La Boule Noire - Septembre 1999

Second Rate – Les Instants Chavirés – Montreuil

Snapcase – La Pêche - Montreuil

J'en aurais vu une bonne chiée de concerts là bas aussi à l’époque ! Et je crois que sur toutes les photos que j'ai pu prendre, c'est de loin ma préférée.

At The Drive In @ La Boule Noire Pt. 1

Continuons cette série nostalgique, avec le premier concert d’At The Drive In à Paris à la Boule Noire. On ne peut pas dire qu'on était très nombreux ce soir-là. 70 ou 100 personnes à tout péter, dont une grande majorité de gens issus de la presse musicale… C’est mon pote Max (de feu Sixpack et Spit) qui ayant déjà eu l’occasion de les voir jouer (et même de jouer avec eux) à de nombreuses reprises m’avait fortement conseillé de me rendre sur place, et je dois reconnaître que je ne l’avais pas regretté ! Les quelques photos qui suivent ont été prises au cours du concert en question…

Leur guitariste arborait un chouette tee-shirt d'une marque de skate dont le blason laissait apparaitre en filigrane les logo de Siege, Septic Death, et tout un tas de groupes anthologiques...

At The Drive In – La Boule Noire (Septembre 99)

Mc Lusky - HWM - Schlitz

Le même soir que Liars, avaient donc joué Mc Lusky en guise de tête d'affiche. A l'époque, je dois reconnaître que je n'arrêtais pas d'écouter en boucle ce deuxième album produit par Steve Albini qui venait tout juste de sortir. Il y avait dessus, une sorte de tension tout en retenue qui correspondait parfaitement à mon ésprit du moment, très tendu lui aussi... J'ai toutes les difficultés du monde à réécouter tout çà maintenant, mais j'en aime toujours autant certaines des photos que j'avais prises ce soir là, dont celle-ci...

Mc Lusky – La Boule Noire

Même chose pour Hot Water Music... Leur split avec Leatherface et les 2 albums qui lui avaient précédé (« No Division » sur Some Records et « Forever And Counting » sur Doghouse Records) sont 3 des disques que j’ai probablement le plus écoutés à la fin des années 90. Pourtant je n’aimais pas les débuts du groupe que je trouvais particulièrement chiants, mais avec ces 3 albums, ils avaient pris une toute autre ampleur que je ne fus d’ailleurs pas le seul à apprécier. A défaut d’avoir pu les voir au Vort’n’Vis pour leur première venue européenne, je suis descendu jusqu’à Lyon au Pezner un an plus tard pour le faire. Et je ne l’ai pas regretté. Dés le deuxième morceau, Chris s’était déjà ouvert l’arcade sourcilière et a tout de même continué de jouer comme en témoigne la photo qui suit. Je crois que ce que j’aime le plus sur celle-ci, c’est son tee shirt « The End Is Near » en parfaite adéquation avec l'impression que donnait leurs concerts…

Hot Water Music – Le Pezner (Hiver 2000)

A la même époque, Schlitz était un des rares groupes français (avec les Protex) que j’aimais réellement beaucoup. Encore aujourd'hui, leur EP et leur 10’’ restent 2 disques que je prends toujours autant de plaisir à réécouter dés que l’humeur ou l’envie s’en fait sentir (un joyeux mélange hybride d’influences punk anglaises, HxC à l’américaine matinées de rock australien). Jean a par la suite fondé (ou rejoint) Lobster Killed Me avec Schlag… Ces 2 photos avaient été prises au C.I.C.P. en première partie de Citizen Fish, au cours d'un concert où la chaleur était à son comble...

Schlitz – Le C.I.CP.

Mars Volta - Les Savy Fav - Liars

Trève de plaisanteries, et revenons à des choses un peu plus sérieuses avec quelques photos également retrouvées dans mes archives et prises à l’ancienne (du temps où les appareils photo numériques restaient hors de prix) dont certaines que j’affectionne tout particulièrement . En voici donc quelques unes scannées à l’arrache avec traces de poussière garanti 100% maison à l'appui ! Enjoy !

Commençons cette série avec Mars Volta pris au Trabendo, lors de leur tout premier passage à Paris avant la sortie du moindre disque. Un concert particulièrement chiant qui ressemblait plus à de la branlette stérile de musiciens qui fit que je n’ai jamais cherché à écouter quoi que ce soit du groupe sur disque par la suite… Toutefois, j’en aime beaucoup ces 2 photos…

Mars Volta – Le Trabendo (Ne me demandez pas l’année, j’ai oublié…)

Le même soir, jouaient également Les Savy Fav. Je n’avais jamais écouté auparavant et ce fut une très bonne surprise. C’est marrant de les revoir avec leur look de l’époque…

Les Savy Fav – Le Trabendo (Idem pour l’année)

Et terminons cette première série avec Liars que j'avais découvert lors de leur premier passage à Paris à la Boule Noire en première partie de Mc Lusky. Là aussi, ne me demandez pas l’année, ça reste une période assez floue de ma vie très embrumée par de trop nombreuses soirées passées à trainer dans les bars quand ce n’était pas en concert. Par contre, ce dont je me souviens parfaitement ce soir là, c'était d'y avoir revu Chris Coppola (Krull, Power Wakan, Fisherman, Cockroaches, El Justiciero) qui revenait du Japon après plusieurs années d’absence…

Liars – La Boule Noire

Level Playing Field

Autre groupe de Saint-Etienne pour lequel j’avais également énormément d’affection, Spit ont malheureusement splitté beaucoup trop vite sans prendre le temps d’enregistrer l’album sur lequel ils avaient commencé à bosser. Ceci dit, il me reste encore quelques caisses de leur EP que j'avais sorti sur mon label à cette même époque et que j'ai eu toutes les difficultés du monde à écouler... La photo quant à elle fut prise en répète, à Saint-Etienne dans les fameux locaux de Sauf Imprévu.

Lorsque je suis parti sur la côte Est des Etats-Unis avec l’ami Max (donc chanteur de Spit et batteur de Sixpack et Cumshot), en déambulant dans les rue de Washington DC, nous sommes tombés sur Fonzy (dont j’ai oublié le véritable nom), oui celui de Happy Days qui fumait le cigare à la sortie d’un bar. Et Max n’a pu résister au plaisir de se faire prendre en photo à ses côtés, photo qui par la suite servit de page de garde au catalogue de ma liste de distro pendant plusieurs moi…

Fonzy & Max - Washington DC - Printemps 2000

Ce même été (ou plutôt printemps), juste avant mon retour à Paris, Jesse des Dusters chez qui nous logions à Washington, nous fit a surprise de nous amener dans les locaux de Dischord où tous leurs disques étaient stockés (juste à côté de la maison sur le porche de laquelle a été prise la mythique photo du EP « Salad Days » de Minor Threat). On a résisté tant bien que mal à la tentation de se faire prendre en photo comme tous les gens de passage là bas, assis sur les marches de ce même porche, mais pas à celle d’immortaliser notre passage dans ces même locaux mythiques…

Dischord House avec de gauche à droite une employée de Dischord dont j’ai oublié le prénom, Alec Bourgeois (de Double O, Severin, et les Dusters), le gars de l’UPS que cynthia a tenu à faire figurer avec nous, Cynthia Connoly donc, ainsi que Max et moi sur la droite. Ian Mc Kaye n’était pas très loin, mais on n’a pas osé lui proposer de se joindre à la collégiale…

Ce même soir, j'eus également la chance d'aller voir Girls Against Boys dans le mythique Black Cat, le club dans lequel travaillait Jesse et qui se trouvait juste sur le trottoir d'en face de là où nous logions.

Girls Against Boys - Le Black Cat - Washington DC - Printemps 2000

Et pour finir en beauté cette serie de photos ridicules, un chouette cliché d'anthologie nous réunissant avec l'ami Yann Sanjam, pour le meilleur et pour le pire, serais-je tenté d'ajouter...

Contrairement aux apparences, nous ne sommes pas sur le banc des accusés nous apprétant à purger une peine de 20 à 30 ans de réclusion criminelle, mais simplement témoins officiels du marriage de Yves et Dabiah, ce qui comme vous pouvez le constater par vous même, semblait nous transporter de joie l'un comme l'autre !!!

Destination : Not At Home !

Continuons la série des photos ridicules avec ce superbe cliché de Yves dans une posture purement anglaise, pris juste après avoir été voir ensemble UK Subs aux Foufounes Electriques à Montréal ce même printemps 1999….

Ca par contre, c'est la première photo officielle du tandem Shark Attack / Small Budget Productions prise au retardateur dans la cuisine des parents de David pour un article sur nous dans Rocksound ou Punk Rawk. Avec mon torchon sur l’épaule, je crois que je venais de découvrir ma véritable vocation : taulier de bar ! En tout cas, ça a fait sensation dans la presse !

David avec Olivier (Sixpack / Protex Blue) au moment de la signature du contrat qui nous lia pendant plusieurs années pour la réalisation de leurs disques. Cet attrait prononcé d'Olivier pour les déguisements féminins fut d'ailleurs une des raisons du split de Sixpack et de son éviction des Protex qui avaient beaucoup de mal à faire accepter ses tenues dans une scène Oi ! / Redskin un peu réac en la matière. Il fut de ce fait remplacé par Hamani quelques mois plus tard pour l'enregistrement de leur premier album (le subtilement nommé "Thirst Album") sur Dialektik Records...

Les mêmes Protex Blue, en concert dans le sous-sol d’un baraque en construction aux alentours de Saint-Etienne à l’occasion des 30 ans de Maz (celui en train de le micro à la main) et Rouquin. J’adorais ce groupe et son ska punk hybride entre les Clash, Operation Ivy, Stiff Little Fingers, les Rudiments et Kortatu, qui avait réussi à me faire retrouver le même frisson que la première fois où j’avais écouté Operation Ivy, ce qui relevait quasiment de l'exploit !

Dommage qu’ils aient ensuite décidé de ralentir le tempo et de changer de nom pour Muckrackers S.E. avant de splitter. La photo qui suit est issue du seul concert que j’ai vu d’eux dans l'ancienne Bourse Aux Disques de Saint-Etienne…

Retreat To Nowhere

Les précédentes séries de photos tirées de mes archives ayant rencontré un certain succès et surtout beaucoup fait rire la plupart de mes amis, j’ai décidé d’en exhumer quelques unes de plus…

Commençons avec 2 photos de plus de Putrid Cadaver une nouvelle fois prises en répète. Pour le coup, même si on faisait vraiment du grand n’importe quoi, on peut dire que l’on y mettait réellement tout notre cœur !

Putrid Cadaver – Liberty Rock Studio Avril 1989 – (Si vous y arrivez, vous pouvez admirer Michel avec son superbe tee shirt Motley Crue qu’il s’était fait dédicacé quelques semaines plus tôt par Chuck Schuldiner lors du premier passage de Death en France à Vertain, concert d’ailleurs organisé à l’époque par un tout jeune Sylvain Vilette de Chimères…)

Et le genre de chose que je ne risque pas de refaire de si tôt vu l’état actuel de mes jambes…

Putrid Cadaver – Liberty Rock Studio Avril 1989

Celle-ci par contre date de Février ou Mars 91, prise le soir du premier passage de Negazione à Paris à l’Espace Ornano (pas forcément leur meilleure période, mais leur split avec Declino et « Lo Spirito Continua » restant 2 de mes disques fétiches, je n’aurais su déroger au plaisir de les voir au moins une fois sur scène à l’époque. Qui plus est les gars étaient vraiment adorables, et après l’interview que j’avais fait d'eux pour New Waves, on avait passé une bonne partie du début de soirée à discuter vieilleries HxC avec leur guitariste Roberto). Je me trouve donc en compagnie de leur batteur et chanteur, un roadie, la copine d’Amédé (bassiste de MST), avec une bonne coupe de cheveux ridicule comme il se devait à l’époque, et ce sweet à capuche gris que je portais inlassablement depuis près de 5 ans et qui finissait par n’avoir plus trop de forme…

Et histoire de ne pas laisser mes amis en reste, terminons cette note avec une petite photo de mon ami Yves (My World Is…) en train de danser dans les rues de Montréal avec Sabine (de feu Draught… Try It !) au printemps 99…

Et les mêmes en train de déambuler dans les rues avec la fameuse boite de beignes (appellation canadienne des Donuts) qu’affectionnait tant Yves, au point de ne jamais s’en séparer même dans la rue…